La
22e édition du
Tribu Festival a battu son plein du
27 septembre au 3 octobre 2021 à Dijon et agglomération !
L’ouverture du festival a eu lieu au Cirque Lili dans un écrin de verdure, au cœur du Parc de la Chartreuse.
Le jeune quartet Fantôme a ouvert cette semaine de festivité au Cirque Lili pour offrir à l’auditoire une expérience sensible, et vibratoire.
À l'issue de ce premier concert, étaient projetés deux court-métrages commandés par Zutique. À l'occasion du cycle Point de Vue, réalisatrices cinématographiques et musicien·ne·s se sont donnez rendez-vous dans des lieux atypiques pour continuer à faire vivre et à diffuser leurs créations dans un contexte si particulier.
Le mardi 28 septembre, Mohamed Lamouri alias "Le chanteur de Paris" nous donne rendez-vous à La Vapeur, loin du metro parisien où il a débuté, accompagné de Charlie O. Suivi du concert du trio Mademoiselle formé par les supers stars Rodolphe Burger, Sofiane Saidi et Mehdi Haddab.
Sofiane Saidi s'est produit également lors d'un concert en solo gratuit le lendemain au pied de l'immeuble Boutaric, quartier des Grésilles, à 18h.
Mercredi 29 septembre, direction Le Cèdre à Chenôve pour une soirée organisée dans le cadre de la saison nationale Africa2020 où l'artiste ougandais Faizal Mostrixx était à l'honneur. Accompagné par la chanteuse éthiopienne Iri Di et l'artiste pluridisciplinaire et ancien berger du Lesotho Morena Leraba. Un rendez-vous sous les constellations musicales afrofuturistes !
Le festival est retourné s’amarrer au Port du Canal de Dijon. Trois jours pour profiter de concerts et de rencontres à l’heure de l’apéro, sur l'esplanade de la Péniche Cancale.
Jeudi 30 septembre à 18h, Space Galvachers a fait sonner les violons morvandiaux au bord de l'eau.
Deuxième partie de soirée à l'Auditorium de Dijon pour le concert exceptionnel du leader du mouvement tropicalisme Gilberto Gil, ancien ministre de la Culture et activiste brésilien il était sur scène aux côtés de ses fils. En première partie la guitariste, professeure, auteure et compositrice, volontiers provocatrice et militante de la cause homosexuelle : Adriana Calcanhotto qui multiplie les succès depuis les années 1990.
Vendredi 1er octobre, sur l'esplanade de la Péniche Cancale, Pomme de Terre : batterie, guitare et trompette, cette dernière, soufflée par Aymeric Avice, initiateur de ce projet-tubercule ingrédient indispensable pour réussir la véritable recette d'une transe noise. Le voyage nuptial continue à La Vapeur avec le duo basse-batterie SkullTone et le rappeur américain Mike Ladd. James BKS a mis le feu sur la scène de la Vapeur, avec une musique coincée entre électro pop, sonorités hip-hop et rythmiques transafricaines, accompagné par ses accolytes Gracy Hopkins, So/Anna…
Le samedi 2 octobre, le village du festival accueillait le quatuor ensoleillé Deli Teli : basse/batterie hypnotique et chaloupé dont le bouzouki électrisé, les sons d’orgue farfisa psychédéliques galvanisent les chansons grecques des années 60/70. À 17h, Palabre, une discussion pilotée par les spécialistes jazz de PointBreak avec pour invité·e·s Christine Salem, Raul Monsalve, Napoleon Maddox, Deli Teli et l'initiateur du projet The Bridge : l'antropologue Alexandre Pierrepont.
Retour à La Vapeur avec : Raúl Monsalve y Los Forajidos pur concentré de Great Black Music, Bad Fat la fanfare street-funk appelle en renfort le rappeur et beatboxer américain Napoleon Maddox. Et les cinq musiciens du projet transatlantique The Bridge.
Pour clore le festival en beauté, cap à la Salle Mendès France de Quetigny le dimanche 3 octobre avec un concert de la fanfare vitaminée Ze Tribu Brass Band et de la chanteuse réunionnaise, icône du maloya moderne Christine Salem.
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